Interview de Boris Tarassioux (France), qui a passé avec succès les tests, pour devenir Arbitre International, lors du dernier Championnat d’Europe, qui a eu lieu à Oviedo.
Pedro ANTUNES - Bonjour Boris. BRAVO pour ton passage d'ARBITRE INTERNATIONAL, lors du dernier Championnat d'Europe Seniors. Qu'est-ce que cela représente pour toi?
Boris TARASSIOUX - Bonjour Pedro,
Pour moi, un arbitre international doit être un exemple pour tous.
Je suis content de devenir l'un d'eux et conscient qu'il va falloir maintenant prouver lors de matchs de haut niveau.
Le plus dur reste à faire.
Pedro - Comment est née en toi, l'envie de faire arbitre?
Boris - Joueur, je détestais subir des injustices, mon père est aussi arbitre.
Lorsque j'ai eu l'age de devenir arbitre, j'ai passé naturellement les tests d'arbitre régional.
Pedro - As-tu déjà vécu des moments difficiles à la fin des matches, qui t'on fait réfléchir à continuer ou pas dans cette voie?
Boris - En ce moment, avec l'évolution du hockey de haut niveau vers plus de fautes et un peu plus de violence, arbitrer n'est pas toujours un plaisir.
Mais au lieu de me décourager, cela me motive pour essayer de changer les choses.
Pedro - Quel a été ton parcours comme joueur et comme arbitre?
Boris - J'ai commencé le hockey à 8 ans, avec la création du club de Vaulx-en-Velin.
J'ai remporté dans les catégories de jeunes, plusieurs titres de champion de France, et participé à deux euros jeunesse et deux euros juniors avec l'équipe de france.
En seniors, j'ai joué une dizaine d'année en N1, et participé à plusieurs coupes d'Europe.
Pour l'arbitrage, j'ai débuté en régional vers l'age de 16-17 ans, avant de devenir arbitre national en 1998.
Je n'arbitre pleinement que depuis 2 ans en N1 française avec l'arrêt de ma carrière de joueur.
Pedro - Quel message aimerais tu laisser pour nos lecteurs?
Boris - Le spectacle donné actuellement par le hockey de haut niveau ne procure plus beaucoup de plaisir.
J'espère que l'on va tous (arbitres, entraîneurs, dirigeants, joueurs, spectateurs) se battre pour retrouver un hockey avec moins de fautes, plus de vitesse et de technique.
Pedro - Merci beaucoup Boris.
Pedro ANTUNES - Bonjour Boris. BRAVO pour ton passage d'ARBITRE INTERNATIONAL, lors du dernier Championnat d'Europe Seniors. Qu'est-ce que cela représente pour toi?
Boris TARASSIOUX - Bonjour Pedro,
Pour moi, un arbitre international doit être un exemple pour tous.
Je suis content de devenir l'un d'eux et conscient qu'il va falloir maintenant prouver lors de matchs de haut niveau.
Le plus dur reste à faire.
Pedro - Comment est née en toi, l'envie de faire arbitre?Boris - Joueur, je détestais subir des injustices, mon père est aussi arbitre.
Lorsque j'ai eu l'age de devenir arbitre, j'ai passé naturellement les tests d'arbitre régional.
Pedro - As-tu déjà vécu des moments difficiles à la fin des matches, qui t'on fait réfléchir à continuer ou pas dans cette voie?
Boris - En ce moment, avec l'évolution du hockey de haut niveau vers plus de fautes et un peu plus de violence, arbitrer n'est pas toujours un plaisir.
Mais au lieu de me décourager, cela me motive pour essayer de changer les choses.
Pedro - Quel a été ton parcours comme joueur et comme arbitre?
Boris - J'ai commencé le hockey à 8 ans, avec la création du club de Vaulx-en-Velin.
J'ai remporté dans les catégories de jeunes, plusieurs titres de champion de France, et participé à deux euros jeunesse et deux euros juniors avec l'équipe de france.
En seniors, j'ai joué une dizaine d'année en N1, et participé à plusieurs coupes d'Europe.
Pour l'arbitrage, j'ai débuté en régional vers l'age de 16-17 ans, avant de devenir arbitre national en 1998.
Je n'arbitre pleinement que depuis 2 ans en N1 française avec l'arrêt de ma carrière de joueur.
Pedro - Quel message aimerais tu laisser pour nos lecteurs?
Boris - Le spectacle donné actuellement par le hockey de haut niveau ne procure plus beaucoup de plaisir.
J'espère que l'on va tous (arbitres, entraîneurs, dirigeants, joueurs, spectateurs) se battre pour retrouver un hockey avec moins de fautes, plus de vitesse et de technique.
Pedro - Merci beaucoup Boris.
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